Ce rapport fait suite aux rapports [22] et [16] , dans lesquels on avait montré (en discret) qu'une optimisation de forme en aérodynamique gagnait significativement en conditionnement par adaptation, à intervalles réguliers, de la paramétrisation de Bézier sur laquelle s'appuie la représentation de la forme. Ici, à partir de la connaissance d'une forme optimale approchée, on considère l'ensemble des paramétrisations de Bézier de même degré qui approchent cette forme au sens des moindres carrés. On choisit celle pour laquelle le polygone de contrôle est le plus régulier (minimisation de la variation totale). On fournit tous les détails de cette formulation, très voisine de celle de nos travaux initiaux mais reposant sur un moins grand nombre de quadratures numériques qui sont pour la plupart réalisées au ordre. On propose un cas-test d'optimisation de forme issu du calcul des variations. Cet ersatz d'«optimisation physique» nous permet à faible coût de mettre en évidence la convergence du couplage entre l'optimisation pseudo-physique et l'auto-adaptation de la paramétrisation.