2021 MBA EOGN Symposium - Managing a Global Crisis: The Security Aspects of the Crisis
Colloque 2021 MBA EOGN - Manager une crise globale: Les aspects sécuritaires de la crise
Résumé
During his presentation at the 2021 MBA EOGN Symposium on "Managing a Global Crisis: The Security Aspects of the Crisis," the author emphasized the role of luck in crisis management. He illustrated this by referencing a crisis exercise initiated on March 13, 2020, by his company, aimed at testing the ability to switch headquarters staff to remote work. This exercise, initially planned as a simulation, became providentially useful with the outbreak of the COVID-19 pandemic, demonstrating the unexpected utility of the exercise in a real context.
The author then addressed the security challenges from the perspective of private security actors. He began by discussing the anticipatory challenges of the crisis, noting that numerous national security reports, in France, the United States, and Great Britain, had already identified pandemics as major threats. However, despite these forecasts, the measures taken to prepare for such an eventuality proved insufficient when confronted with reality.
Regarding crisis management, the author echoed discussions from the symposium by examining current practices and suggesting improvements. He particularly criticized the private security sector for its lack of preparation and responsiveness, suggesting that these companies should adopt diversification strategies to be more resilient in the face of future crises. He likened this necessity to the modern portfolio theory advocated by Markowitz, which promotes diversification of investments to minimize risks.
In conclusion, the author stressed the need for better anticipation and management of crises by private security actors, calling for strategic reflection on diversifying services and enhancing resilience against increasingly frequent and varied global crises.
Lors de son intervention au colloque MBA EOGN 2021 sur "Manager une crise globale: Les aspects sécuritaires de la crise," l'auteur souligne l'importance de la chance dans la gestion des crises. Il illustre son propos en évoquant un exercice de crise initié le 13 mars 2020 par son entreprise, visant à tester la capacité de basculer les effectifs du siège en télétravail. Cet exercice, prévu comme une simulation, se révèle providentiel avec le déclenchement de la pandémie de COVID-19, démontrant ainsi l'utilité imprévue de l'exercice dans un contexte réel.
L'auteur aborde ensuite les enjeux de sécurité du point de vue des acteurs privés de la sécurité. Il commence par discuter des défis anticipatoires de la crise, en soulignant que de nombreux rapports de sécurité nationale, tant en France qu'aux États-Unis ou en Grande-Bretagne, avaient déjà identifié les pandémies comme des menaces majeures. Cependant, malgré ces prévisions, les mesures prises pour se préparer à une telle éventualité se sont révélées insuffisantes face à la réalité.
Concernant la gestion de la crise, l'auteur fait écho aux discussions du colloque en examinant les pratiques actuelles et en proposant des perspectives d'amélioration. Il critique particulièrement le secteur privé de la sécurité pour son manque de préparation et de réactivité, suggérant que ces entreprises devraient adopter des stratégies de diversification pour être plus résilientes face aux crises futures. Il compare cette nécessité à la théorie moderne du portefeuille de Markowitz, qui prône la diversification des investissements pour minimiser les risques.
Pour conclure, l'auteur insiste sur la nécessité d'une meilleure anticipation et gestion des crises par les acteurs privés de la sécurité, appelant à une réflexion stratégique sur la diversification des services et l'augmentation de la résilience face à des crises globales de plus en plus fréquentes et variées.
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